Ressources
Les clubs universitaires procureraient une expérience d’apprentissage distincte hors des salles de classe. Il s’agit d’un moyen à ne pas négliger pour répondre aux enjeux actuels. Pourtant, on se tourne de plus en plus rapidement vers l’innovation, parfois au détriment de moyens existants. En 2013-2014, il y avait pourtant près de 7 500 clubs universitaires au Canada.
À une époque où les universités se montrent très préoccupées par les questions concernant la réussite des étudiants qui sont dits «à risque», les façons d’assurer leur intégration au marché du travail et les autres enjeux du genre, cet article nous rappelle que les clubs universitaires constituent une solution qui se trouve «juste sous notre nez».
Une solution qui a fait ses preuves ailleurs
Si les recherches portant sur les clubs universitaires canadiens sont rares, il en existe sur les initiatives similaires au sein des universités des États-Unis et d’Angleterre. Ces recherches, tant qualitatives que quantitatives, révèlent que les bénéfices sont multiples. En effet, participer aux activités de ces clubs contribuerait au renforcement de l’esprit critique, au développement personnel ainsi qu’à l’épanouissement scolaire et affectif, entre autres choses. Cela favoriserait ainsi la réussite scolaire des participants en général et plus particulièrement de ceux provenant de groupes à risque.Une expérience d’apprentissage distincte et solide
Les apprentissages qui se font au sein d’un club se distinguent de ceux faits en classe puisque les défis sont de nature différente. Les membres des clubs doivent notamment gérer des retards aux réunions, rédiger des mandats, aider les étudiants à remplir leur première demande de subvention et bien d’autres choses. Cela leur permet de développer des compétences qui plus tard pourront être mises à profit pour la planification d’événements, la gestion des ressources humaines, l’action stratégique. Il s’agit de compétence que les programmes universitaires ne permettent pas tous de développer.Une connexion avec le monde extérieur
Les clubs universitaires étant souvent connectés à des organismes à but non lucratif (OBNL) situés à l’extérieur des campus, cela offre une occasion intéressante pour les membres de progresser au sein de ces OBNL. Du même coup, cette contribution des membres bénéficie aux organismes qui ont accès aux infrastructures et aux ressources universitaires. Il n’existe en ce moment aucun programme favorisant ce rapprochement entre organismes et étudiants de façon systématique. Cela relève donc du cas par cas. Les universités sont face à une belle occasion de joueur un rôle plus actif dans ce domaine. Pour lire l’article complet dans Affaires universitairesSuggestions de lecture

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