Le magazine "Affaires universitaires" propose un billet sur la formation à distance (FAD) signé par Mélanie Julien, coordonnatrice à la Commission de l’enseignement et de la recherche universitaires, au Conseil supérieur de l’Éducation. Le magazine publié par Universités Canada propose quelques éléments de réflexion à propos de la situation et les perceptives de développement de la FAD au Québec. Après s’être questionnée sur la désuétude de l’expression « formation à distance » à l’ère du numérique, la coordonnatrice du CSÉ rappelle que la FAD est toujours pertinente dans un processus de formation continue, mais qu’elle prend de plus en plus d’importance dans la formation initiale au sein de laquelle les perspectives de développement sont grandes. Les avantages que proposent la FAD sont toujours d’actualité comme l’accessibilité géographique, mais aussi la facilitation de la conciliation travail-famille-études. Les formules de formation à distance sont en mutation comme en témoignent notamment les initiatives de l’Université Laval et de l’Université Concordia. Cette mutation n’est pas sans impacts. Si on pense aux MOOC, par exemple, qui ont des effets de rayonnement pour les professeurs et pour les établissements. Le texte de Mme Julien explique en quoi la situation du Québec est particulière par rapport au vécu d’autres provinces ou d’autres pays:
  1. l’intervention de l’État,
  2. le potentiel d’économies,
  3. la collaboration interuniverisaire,
  4. la place des MOOC.
Enfin, il est question du point de vue du Conseil supérieur de l’Éducation et des quatre grandes recommandations qu’il a adressées au Ministre de l’Éducation dans son avis La formation à distance dans les universités québécoises : un potentiel à optimiser en juin 2015. On peut lire l’article au complet en cliquant ici.